Un nouveau site

Ce jeudi 10 avril, www.egliseinfo.be a été présenté à la presse.

Voici le communiqué fait par Jacques Galloy.

Communiqué de presse
Pour diffusion immédiate

www.egliseinfo.be
Lancement du ‘GPS’ des horaires et lieux
de célébrations catholiques en Belgique francophone

Liège, Belgique. Ce jeudi 10 avril 2014, le site internet www.egliseinfo.be a été mis en ligne. Plateforme interactive inédite en Belgique, elle permet d’une part aux paroisses catholiques de communiquer et de maintenir à jour facilement les informations sur les lieux et les horaires des célébrations. D’autre part, chacun peut les géolocaliser en 2 clics via internet, sur tablette ou smartphone. En effet, l’intégration de la technologie GPS permet par exemple de trouver la célébration la plus proche en temps et en distance. Ce projet a été initié par des chrétiens laïcs en septembre 2013.

L’initiateur du projet, Jacques Galloy, dit : « actuellement, plus de 20 unités pastorales pilotes représentant 200 clochers sont déjà accessibles et le plus souvent gérés par des webmasters paroissiaux bénévoles. Cela représente 10% de pénétration en Belgique francophone et le but est d’atteindre 65% avant Noël, notamment en nouant bientôt des partenariats avec des diocèses. En termes de communication, c’est en effet un peu l’Eglise 2.0.»

Alain Tiri, le webmaster, explique : « Le site belge www.egliseinfo.be est lié au moteur technologique de géolocalisation développé par la Conférence des Evêques de France (« CEF »), moteur sélectionné après une étude de marché approfondie sur une dizaine d’applications similaires dans le monde. »

 

La mise en ligne du site s’est faite en présence des promoteurs, du représentant du CEF, Patrice de Saint Steban et du curé-doyen de Liège centre, le chanoine Eric de Beukelaer, en tant que première paroisse pilote. Le lancement a eu lieu à Liège, à l’ombre de l’église St Jacques, d’où sont partis, depuis des siècles, des marcheurs qui suivent le chemin…

 

Mercredi des Cendres

Ce 5 mars, nous nous sommes rassemblés à l’église saint Etienne de Wandre,
autour de nos prêtres et diacre les abbés Joseph Desonay, Willy Mfukala, Michel Wilderjans et le diacre Ivan Doigny.

 

C’est le Mercredi des Cendres, premier  jour du Carême.

Des rameaux de Pâques, il ne reste que des Cendres.
Cela veut-il dire que tout est perdu ?

N’est-ce pas plutôt le signe qu’une humble,
qu’une pauvre poussière peut nous réveiller
L'imposition des Cendresà la foi,
à l’espérance,
à la vie ?

Horaire des communions 2014

Dimanche 4 mai :

  • 1re communion : 11h00 à Lixhe
  • Profession de foi : 11h00 à Visé

Dimanche 11 mai :

  • 1re communion : 11h00 à Cheratte-Hauteurs
  • Profession de foi : 11h00 à Richelle

Dimanche 18 mai :

  • 1re communion :  9h30 à Wandre
  • Profession de foi : 9h30 à Devant-le-Pont

Samedi 24 mai :

  • 1re communion et profession de Foi à Sarolay à 17h30

 Dimanche 25 mai :

  • 1re communion : 11h00 à Richelle

 

Jeudi 29 mai : (Ascension)

  • 1re communion : 9h30 à Devant-le-Pont
  • 1re communion : 11h00 à Visé 

Amitié islamo-chrétienne petit déjeuner pascal

Lundi de Pâques 21 avril 2014 à 9h00

PETIT DÉJEUNER PASCAL ANNUEL DE 

L’AMITIÉ ISLAMO-CHRÉTIENNE.

à la salle de la Porte Ouverte, place de la collégiale à Visé

Thème : « QUEL MONDE LAISSERONS-NOUS A NOS ENFANTS ? »

Déroulement de la matinée :

Accueil
Partage du thème
Montage audio-visuel
Petit-déjeuner – rencontre
Prière en français et en arabe
Présentation du produit OXFAM

Les échos d’avril 2014

 2ème Dimanche de Pâques A – Jn 20, 19-31
27 avril 2014

 Thomas, témoin de foi

 Dans l’Evangile de ce jour, nous prolongeons la joie de Pâques – la présence de Jésus ressuscité aux disciples ; son envoi en mission et le témoignage de la foi de la communauté. Il y a cependant une originalité : c’est l’expérience de Thomas, « notre » jumeau. Il émet un doute : celui qui apparaît ainsi est-il le crucifié  dont on peut voir les effets et traces sur sa peau ? Ce n’est pas une vaine question.

Les gestes d’amour gratuit sont-ils en lien avec cette joie (ce bonheur) ressenti à certains moments de la vie et qui trouvent leur source dans la gratuité de notre foi ?

Il nous arrive de passer tous par des moments où nous doutons (de nous-mêmes, des autres, des organisations, de Dieu…) et quand vient le « redoux » la présence réconfortante de celui qui nous appelle pour un service à rendre, pour une communication amicale ou une quelconque bonne nouvelle…y a-t-il un lien ?

L’Evangile d’aujourd’hui semble clairement dire « oui » et même faire le lien direct avec la présence de Dieu ressuscité qui, par ailleurs, nous envoie en mission et nous invite à approfondir notre foi grâce à celle des chrétiens avant nous : « Bienheureux ceux qui, sans avoir vu ont cru. v.29. »

Comment dans le monde d’aujourd’hui tel qu’il est, grandir dans une foi adulte ? D’abord en étant de ceux qui ont la foi, de ceux qui désirent changer les choses, afin que chacun soit pris en dignité, de recevoir d’eux un témoignage de vie qui nous fasse, nous aussi, mettre nos pas dans les leurs,  fébrilement peut-être, mais sûrement; assurés de la présence de Quelqu’un qui a déjà fait le passage avant nous et de qui nous pouvons devenir un familier, un ami.

Bonnes Pâques !

Abbé Michel WILDERJANS, vicaire

Dimanche de Pâques
20 avril 2014 

Christ est ressuscité !

 Sans aucun doute, à la sortie de la Vigile Pascale ou à l’issue de la messe de Pâques, dimanche matin, je vais  prononcer ces mots : « Christ est ressuscité ! ».

Fort bien, mais pourquoi ? Et qu’est-ce que j’ai en tête quand je dis cela ? Christ est ressuscité ? Vraiment ?

Je pense à une connaissance dont la famille a volé en éclats : rupture difficile, rancoeurs, doutes, déprime… Et puis voilà que tout doucement la vie reprend le dessus, l’envie d’avancer aussi, avec des gestes d’apaisement… « Christ est ressuscité ! »

Je pense à un adolescent un peu timoré, bien au chaud dans sa carapace protectrice : jamais un mot plus haut que l’autre, « pour vivre heureux, vivons caché ! ». Et puis un jour, un sentiment d’injustice tellement fort lui fait prendre la parole pour défendre un plus petit que lui. « Christ est ressuscité ! »

Je pense à cet octogénaire, veuf depuis quelque temps, qui se demande si sa vie a encore un sens et s’il est encore utile à quelque chose. Et puis ce « oui » à un enfant du voisinage en difficulté scolaire et familiale et des kilos de tendresse et de patience qui affluent à nouveau. « Christ est ressuscité ! »

Je pense à toutes les tentatives de paix et de réconciliation dans le monde, à la gentillesse et aux gestes gratuits, aux indignations salutaires, à la prise de responsabilité, à la loyauté quotidienne, à l’amitié qui dure, à la joie distribuée sans mesure… au refus du défaitisme et à la confiance en la vie… « Christ est ressuscité ! »

Anne Van Linthout-Locht
Assistante Paroissiale

Dimanche des Rameaux et de la Passion   Mt 26, 14-27,66
13 avril 2014

Entrée joyeuse, suite douloureuse…

L’entrée messianique, précédée de sa préparation minutieuse, est vraiment une entrée festive : Jésus est acclamé par la foule «Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ».
Célébrer Jésus qui entre à Jérusalem, à la fois comme « Fils de David, envoyé du Père, prophète et Seigneur », c’est le faire dans la joie et la louange.

Le second Isaïe nous remet vite dans la réalité : « J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, je n’ai pas protégé mon visage des outrages ni des crachats ». Si les humiliations sont bien réelles et dures à vivre, Isaïe insiste sur la « Liberté intérieure » du serviteur souffrant et sur l’assurance du secours de son Père : « Je sais que je ne serai pas confondu ».

Le psaume 21 répond, comme si souvent, à la première lecture. Jésus reprendra sur la croix le « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Mais il faut aller au bout de la lecture du psaume pour s’apercevoir que Dieu ne l’abandonne pas : « Mais tu m’as répondu ! Je te loue en pleine assemblé… »

Paul, aux chrétiens de la ville de Philippe, nous rappelle que « Il s’est abaissé lui-même en devenant obéissant jusqu’à la mort sur une croix » mais aussi que « Dieu l’a élevé au-dessus de tout… »

Le récit de la passion selon Mathieu nous montre le moment de l’accomplissement des Ecritures, dans la réalisation du destin du Dieu qui nous sauve « Jeshouah » en son Fils Jésus Christ. Jésus nous parle de son Père à travers tout le récit, à la Cène, à l’arrestation, à l’agonie… Nous pouvons constater combien le Père est présent dans la conscience de son Fils et qu’il l’accompagne tout au long… Ce sera vers une fin joyeuse, celle de la Résurrection.

Désiré van Ass, curé UP Liège nord – Vottem

5e dimanche du Carême A –  Jn 11, 1-45
6 avril 2014

 

D’une réanimation à la Résurrection

Jésus releva Lazare d’entre les morts et celui-ci revint à la vie mortelle. Ne parlons de résurrection que pour désigner le passage définitif vers l’éternité glorieuse par la transformation de notre être périssable en un être impérissable.

Ce retour de Lazare à la vie est, dans l’évangile de St Jean, le 7ème « signe ». Il appelle ainsi les miracles, pour dire qu’ils interpellent et veulent éveiller la foi.

Jésus dit : «  Lazare est mort. Je suis heureux de n’avoir pas été là afin que vous croyiez ! » Lazare avait deux sœurs. A Marie, Jésus dit : « Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. » A Marthe, il dit : « Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra. » Dans ce dialogue, nous trouvons cette affirmation forte de Jésus : « Je suis la résurrection et la vie. » La foi en lui nous donne accès à cette vie qu’il nous ouvre au-delà de la mort, qui est pour lui un sommeil.

Aux disciples, il avait dit : « Lazare s’est endormi, mais je vais le réveiller. » Ils ne comprirent pas, il a fallu que Jésus précise qu’il parlait de la mort. Dans ses prières pour les défunts, l’Eglise dit qu’ « ils se sont endormis dans l’espérance de la résurrection. »

A deux reprises, il est dit que Jésus fut « bouleversé d’une émotion profonde. » Il semble ressentir une profonde colère à l’égard de l’entourage devant les lamentations qui sont l’expression d’un manque d’espérance devant la mort.

Les uns crurent en Lui, d’autres avertirent les Pharisiens, qui décidèrent de supprimer Jésus.

Du tombeau de Lazare, nous irons au tombeau du Christ.

Abbé Auguste REUL

Actualités Avril 2014

Ceci sert d’exemple et n’est pas du tout complété. Merci d’être patient.

CATÉCHÈSE :

RETRAITE PROFESSION DE FOI ET FIN DE PREMIÈRE ANNÉE :

SPECTACLE :

La passion de Jesmas et du Nazaréen d’André Barthélemy.

Les échos de Mars

4e dimanche  du Carême A  – Jn 9, 1-41
30 mars 2014

Vers la Lumière

L’Évangile de ce 4ème dimanche de carême commence par une question : »Comment peut-on être aveugle de naissance ? À qui la faute ? À l’aveugle ou à ses parents ? » Car pour les chefs religieux, qui croient voir clair, c’est évident : les maladies, les infirmités sont des punitions de Dieu, par suite du péché. Alors, quand un enfant nait aveugle, à qui la faute ? À lui où à ses parents ?

 Et Jésus répond une fois pour toutes, aux Juifs de l’époque et à nous qui bien souvent encore associons malheur, accident, maladie avec châtiment divin : « Qu’est ce que j’ai fait au Bon Dieu pour mériter cela ? » Jésus répond clairement : « Ni lui, ni ses parents ne sont fautifs. » Et pour montrer qu’il est venu pour conduire tous les hommes à la vraie lumière, Jésus lui rend la vue.

 Cet aveugle, mendiant, rejeté par tous est soumis à une pénible inquisition qui aboutit à un jugement sans appel : « Tu n’es que péché depuis ta naissance ! » Rien que cela !

 Et pourtant cet aveugle nous est donné en exemple. Merveilleux aveugle, patron des chercheurs de lumière. Car il va non seulement retrouver l’usage de ses yeux, il va aussi découvrir une autre clarté plus essentielle, plus intérieure. Il va comprendre le sens de sa vie. Pas à cause d’une théorie ou d’une philosophie, mais parce qu’il a rencontré et reconnu quelqu’un : Jésus, le Christ.

 Cet aveugle guéri a encore quelque chose à nous dire. Pour être guéri, pour voir clair, il a dû aller se laver à la piscine de Siloé. Il a fallu qu’il marche en tâtonnant, qu’il cherche, qu’il se dérange, qu’il plonge.

 Aujourd’hui, comme hier, le Christ est présent sur les chemins de la vie, comme il marchait jadis sur les chemins de Palestine. Et il offre à qui le désire la lumière dont il a besoin.

 « Va te laver à la piscine de Siloé ! ». C’est dire qu’il ne donne pas la lumière comme ça, sans que chacun n’y mette du sien. Dérange-toi ! Cherche ! Réfléchis ! Prie ! Écoute en toila Source ! Tiens-toi devant le Christ. Laisse-le poser sur toi son regard d’amour. Lâche prise. Laisse-toi faire. Et tout deviendra lumineux. Aimé jusque dans tes faiblesses, tu aimeras à ton tour et ta vie éclatera en bonheur, comme la fleur de printemps s’ouvre au soleil de Dieu.

 

Lucien Vanstipelen

 3e dimanche. du Carême A – Jn 4, 5-42
23 mars 2014

J’ai soif…. .<Donne-moi à boire ».

 Les deux textes principaux de ce troisième dimanche de carême,  Exode 17, 3-7  et Jean 4, 5 – 12. Ces deux textes révèlent cependant des similitudes étonnantes : Dans les deux, l’élément principal est la Parole et l’écoute de celle-ci.

Dans le premier texte (Exode 17,3 – 7), Moïse a peur d’être lapidé s’il ne donne pas à boire son peuple qui commence à préférer l’esclavage de l’Egypte à la liberté et dans l’Evangile, Jésus est victime de l’ironie moqueuse de la Samaritaine : «  Comment ! Toi qui es Juif, tu demandes à boire à moi, une Samaritaine ? ». Moïse est méprisé et Jésus, le Juif hautain voit sa prétention de Juif, race supérieure anéantie. Mais la foi de Moïse à son Dieu qu’il interpelle et surtout son Espérance ne trompent pas ( Rm5, 5 – 8 ) : Le Seigneur produit de l’eau rafraîchissante à profusion d’un rocher en plein désert pour désaltérer ce peuple rebelle tout comme Jésus, la source même de cette Espérance conduit la Samaritaine à la découverte de son véritable drame : « La soif d’aimer et d’être aimée », la soif intense d’amour et de l’absolu habite et ronge cette femme depuis toujours. Le flot de la vie l’a entraînée au gré des vagues à la spirale des aventures et des déceptions. Dans sa course sans retenue à la recherche du bonheur, elle a connu des chutes à chaque obstacle, éliminée et même abandonnée.

Sa corvée quotidienne vers le puits de Jacob est à l’exemple de sa vie tourmentée et de ses douloureuses frustrations. Il a fallu la finesse et le tact d’une intelligence dont Jésus seul possède le secret pour renverser le rôle et passer de l’ironie à la réalité vraie pour que ce face à face à elle-même,  loin des apparences et des mesquineries humaines dénoue ce drame et rende à celle-ci toute sa « dignité de femme ». A l’exemple de Marie Madeleine, le premier témoin de la résurrection, elle se voit confier une mission auprès de ceux qui avaient l’habitude de l’humilier et de la mépriser.

Sa dignité retrouvée, elle s’improvise même théologienne face à Jésus sur des querelles autour des lieux saints et des rites. Mais Jésus la ramène de nouveau à la réalité de la vraie foi : Les querelles sur les lieux saints et les rites sont de vains et faux problèmes ; les vrais adorateurs sont ceux qui aiment Dieu en esprit et en vérité, ceux qui vivent de cet amour de Dieu et le lui rendent à travers d’autres hommes et femmes à aimer à la manière de Dieu. La Samaritaine est émerveillée et rassurée. Elle ne pourra plus se rendre à Jérusalem pour prier.

Le même émerveillement des Hébreux au désert. Ils retrouvent leur foi en ce Dieu qui nous a fait sortir du pays d’Egypte parce qu’il est capable de leur donner à manger et à boire même là où rien ne pousse. Dans les deux cas, il a eu ce passage merveilleux de la soif physique à la soif spirituelle, source et fondement de toute vie.

Ce temps de carême doit nous conduire à nous positionner par rapport à nos propres récriminations et nos doutes sur la Parole de Dieu. N’oublions pas que le rocher du désert et le puits de Jacob est déjà en chacun de nous. Devenons Moïse pour frapper le rocher et la Samaritaine pour rencontrer Jésus au bord du puits de Jacob pour apprendre à boire à la vraie source de la vie.

Abbé Willy MFUKALA Moke

2e dimanche du Carême A – Mt 17, 1-9
16 mars 2014

Le Christ, un éternel et inépuisable accompagnateur !

L’évangile de ce dimanche nous propose la transfiguration de Jésus, merveilleux récit qui met l’expérience spirituelle des apôtres à notre portée.

Jésus prend Pierre, Jacques et Jean et les emmène à l’écart. Ils gravissent une montagne. Le texte ne précise pas laquelle mais, comme toujours, la montagne est le symbole du lieu de la rencontre avec Dieu. Et gravir la montagne, aller à la rencontre de Dieu à travers les autres ou dans la prière, demande un effort. Là, les trois amis découvrent  le vrai visage de Jésus tout rayonnant d’amour. Peut-être des paroles ont-elles été échangées ? Mais j’en doute car il s’agit davantage de ressentir que de parler dans ce récit, comme dans toute expérience spirituelle. Dans ce moment intense, les apôtres perçoivent le lien qui unit Jésus à ses pères dans la foi, Moïse et Elie et tout naturellement, ils les perçoivent présents. Ils découvrent ensuite la puissance du lien qui unit Jésus à son Père et le message de le suivre s’inscrit profondément en eux.

Les apôtres ont des réactions de peur bien compréhensibles : quand on vit une expérience spirituelle forte, on se sent relier à plus grand que soi et cela nous dépasse. Ils n’échappent pas non plus à une autre réaction courante : l’envie de rester là, de planter sa tante là où on a vécu quelque chose d’intense et d’échapper ainsi à la plate et dure  réalité du quotidien. Là aussi, Jésus les prend par la main : il les rassure et ensemble, ils redescendent de la montagne pour replonger dans leur vie.

Je sais que nous pouvons encore assister à des transfigurations. Parfois, on rencontre des personnes lumineuses de bonté, de bienveillance, des personnes qui nous font croire que l’homme a un avenir, une graine de divin en lui.

En ce temps de carême, en ce chemin vers Pâque, je formule deux  souhaits. Le premier est de vivre une transfiguration comme Pierre, Jacques et Jean : puissions-nous assister à la révélation du visage intime et sacré d’une personne dont nous croiserons la route et à travers laquelle Dieu se révèle. Le second est plus intime : puissions-nous sentir le regard particulier de Jésus sur nous, nous laisser emmener par lui au lieu de la rencontre, prendre le temps de la prière et découvrir le vrai visage d’amour de Dieu au fond de notre cœur. Forts de ces deux expériences humaines et spirituelles, après être redescendu dans la plaine du quotidien avec Jésus, peut-être pourrons-nous aussi être transfigurés, révéler notre nature profonde et sacrée d’enfants de Dieu en reflétant le visage d’amour du Père.

Bon chemin vers Pâques avec Jésus, un éternel et inépuisable accompagnateur !

 

                                                           Dominique Olivier

PÂQUES à SAROLAY

Pâques :

Alléluia, Alléluia, Jésus est vivant ! Le cierge pascal de l’année a fait son entrée dans notre église et l’Eglise a fêté le Christ ressuscité lors de la messe pascale.

Après la messe, rassemblés sur la place et sous le soleil en toute convivialité, nous avons bu l’apéritif.

 

Pendant ce temps, les enfants étaient invités à une chasse aux œufs.

 

Mais où sont les œufs ?

 

 

Ensuite, nous étions une dizaine pour manger ensemble, en ce dimanche de Pâques. 

 

Merci à tous et plus particulièrement à François pour la préparation du repas.

 

L’annonce :

10h00 : Célébration eucharistique
11h30 : Apéritif + Chasse aux œufs
12h30 : Repas festif (couscous) 

(PAF Libre – les éventuels bénéfices iront à l’asbl « Makala », participation libre à l’une ou l’autre des activités, toutes auront lieu à l’église)

 

 

Talon d’inscription à la fête de Pâques du 20 avril:   dimancheasarolay@gmail.com, 04/3791533, ou rue M. Beckers 3  

Nom: …………………………….

Nombre de repas adulte:    ……………..

 Nombre de repas enfant:    ……..……….

Nombre d’enfants participant à la chasse aux œufs:……

SEMAINE SAINTE ET PÂQUES

Mercredi saint : 16 avril 

  •  18h00 : église saint Jacques à Liège : messe chrismale avec bénédiction des huiles saintes

Jeudi saint : 17 avril 

  • 19h30 : messe à Devant-le-Pont et Cheratte-Bas suivie d’un temps d’Adoration

Vendredi saint : 18 avril

  • 15h00 : Chemin de Croix à Visé, Devant-le-Pont, Sarolay et Wandre
  • 19h30 : office à Lanaye

Samedi saint : 19 avril

  • 20h30 : Veillée pascale : messe à la collégiale

Dimanche de Pâques : 20 avril

Messe à

RAMEAUX

MESSE DES RAMEAUX :

Samedi 12 avril :

  • 17h30 : à Richelle et Souverain-Wandre
  • 18h00 : à Devant-le-Pont

Dimanche 13 avril :

  • 9h30 : à Wandre
  • 11h00 : à Cheratte-Hauteurs et Visé
  • 19h00 : à Visé