Randonnée sainte Julienne

La verdoyante vallée sillonne la Basse-Meuse sur 12 km et offre une des plus belles balades à l’entrée du pays de Herve. Des étangs de la Julienne à Argenteau aux sources de Retinne, ce régal pour les yeux et les amoureux de la nature devient encore plus accessible grâce à cette nouvelle randonnée. Venez vous oxygéner dans le poumon vert de la Basse-Meuse !

Cette date est symbolique car il s’agit du dimanche de la Fête-Dieu, fête universelle pour les chrétiens qui a ses racines à … Retinne. Or cette année, c’est le 750ème anniversaire de la création de cette fête, initiée par Sainte-Julienne, née à Retinne. Peu importe vos croyances, réjouissons-nous ensemble de ce merveilleux patrimoine, de notre histoire commune, de nos trésors de biodiversité, tout en découvrant qui était cette fameuse Julienne.
 Programme du dimanche 22 juin —

10h45 messe de la Fête-Dieu pour les familles à l’église Ste Julienne de Retinne

2 départs depuis la source située Voie des Messes à Retinne :
– 11h45 départ rando familiale contée (6 ou 12km, pic-nic sorti du sac)
– 13h30 départ rando avec le parcours citoyen de Fléron (12km en 3h)

16h00 Petite conférence sur Sainte Julienne par le spécialiste historien J-P Delville, évêque de Liège – à la Chapelle Notre-Dame de Wixhou (Argenteau)

Dès 17h00, retour en bus vers le point de départ de Retinne

Et pour les amateurs de Foot…

18h00 Match Belgique-Russie sur écran géant
avec barbecue et animations pour enfants, Chemin du Frise 46, Saive – (réservations pour le barbecue : famille@galloy.be, PAF : 5 EUR/pers)

Agenda d’Août 2014

 

Dimanche 10 :

  • Fête des Anciens Arbalétriers visétois. Messe à 9h30 à la collégiale
  • Cheratte-Hauteurs : messe en Wallon  à 10h00 à la guinguette, rue des Trixhes à Hoignée. Début des festivités cherattoises. Pas de messe à 11h00 à l’église.

Jeudi 14 :

  • 19h30 départ de la procession de la collégiale vers le plateau de Lorette.
  • 20h00 messe de l’Assomption au plateau de Lorette.
  • Appel aux chanteurs et chanteuses pour la chorale : répétition à 19h30

Vendredi 15 : Assomption

  • 11h00 à la collégiale messe présidée par monseigneur Jousten.
  • Commémoration du 100e anniversaire de la guerre 1914-1918, du martyre et de l’incendie de Visé.
  • Barbecue géant à La Porte Ouverte
  • Messe également 11h00 à La Xhavée. Celle de 9h30 à Wandre est supprimée.

Dimanche 17 :

  • Cheratte-Hauteurs : 11h00 messe de la Fête avec la Band’As de Wattrelos (France).
  • « Les Estivales de Wixhou » : 3 concerts le 17 et 24 août (cliquez ici) pour plus d’informations.

Mardi 26 août :

  • Prière de Taizé : 20h00 à la chapelle de Mons-Bombaye

 

Samedi 30 août :

  • 18h00 : Collégiale de Visé
    Messe d’action de grâces pour les 30 ans d’ordination de l’abbé Willy  Animée par une chorale africaine.
  • Pas de messe à Devant-le-Pont

Agenda de Juillet 2014

Dimanche 6 juillet :

  • Fête de la compagnie royale des Francs Arquebusiers à Visé.
  • Sarolympiades à Sarolay : Une journée de fête de village avec un barbecue et des « rencontres sportives »  ainsi qu’en nouveauté une brocante d’après-midi (12 à 17 heures).

Week-end du 19-20 et 21 juillet :

  • Fête de Notre Dame du Mont-Carmel à Devant-Le-Pont.
  • Le 21 à 10h00 messe à la mémoires des combattants + apéritif+repas.

 

Week-end du 26 et 27 :

  • Fête au quartier de la Wade à Visé.La messe du dimanche 11h00 aura lieu sous le chapiteau et non à la collégiale.

Dimanche 27 juillet :

  • La Xhavée : 11 heures : messe fête de Notre Dame du Mont-Carmel.

« KAIROS » PASTORAL

Un kairos pastoral

Lettre pastorale de Mgr Jean-Pierre Delville

 

Qui aurait imaginé il y a un an ce que nous vivons aujourd’hui ?

L’Église vivait dans l’angoisse la démission du pape Benoît XVI. Il y avait un climat de scandale et de lutte de pouvoir dans les coulisses. On vivait depuis des années le problème de la lutte contre la pédophilie.

Puis on a eu la surprise de voir l’élection du pape François. Il provenait d’Amérique latine ; il n’était pas jeune. Mais il manifestait une grande jeunesse de cœur. Il nous a ouvert à la miséricorde de Dieu et aux périphéries du monde. Ce moment est un kairos, un moment favorable, pour toute l’Église comme pour notre diocèse.

D’après le Concile Vatican II, l’Église est sacrement du salut. Elle doit donc être un signe efficace du salut. Elle est là en vue du salut. Elle n’a pas son objectif en elle-même, mais dans la communication du salut. Le salut, en latin, salus, qui veut dire d’abord la santé, signifie donc la santé du corps et de l’âme, la santé matérielle et la santé spirituelle, et donc le bonheur et la libération du mal, qui débouchent sur la vie éternelle et la communion avec Dieu. La question qui se pose à nous est donc : dans le monde d’aujourd’hui, comment sommes-nous sacrement du salut ? Comment portons-nous le salut voulu et offert par Jésus ? Le salut est pour tous. Donc nous devons avoir l’ambition de toucher tout le monde, même si nous savons que nous ne parviendrons pas à convaincre tout le monde. Je veux dire que nous ne devons pas rester enfermés dans le monde ecclésial, mais être témoins et communicatifs. Comment réaliser cela ? Nous devons faire comme Jésus, qui, d’après l’évangéliste Matthieu, « proclamait la bonne nouvelle du Royaume et guérissait toute maladie » (Mt 9,35) ? Et nous devons être comme les disciples de Jésus, qui disaient : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean-Baptiste lui aussi l’a appris à ses disciples ! » (Lc 11,1).

 

Je voudrais développer avec vous ce que j’ai eu l’occasion de dire aux doyens et au Conseil presbytéral, car c’est vous qui êtes pasteurs ou ministres au service de l’Évangile dans notre diocèse. J’aime pour cela suivre les quatre constitutions du Concile Vatican II.

 1. Le secteur Gaudium et spes, ou l’Église dans le monde

La constitution Gaudium et spes (Joie et espérance) du Concile Vatican II est consacrée à l’Église dans le monde. Le monde vit des moments difficiles : on connaît la crise, avec toute l’insécurité et les peurs qu’elle engendre. On connaît la sécularisation, avec le matérialisme ambiant, l’indifférence, la difficulté de croire. On connaît les défis mondiaux de l’injustice, de la guerre, de l’écologie. Comment portons-nous une espérance, un bonheur, une spiritualité, un souci de justice, une amitié ? Le concile promeut une ligne nouvelle : au lieu de tendre à imposer ses vues à la société, l’Église promeut le dialogue avec les cultures, les sociétés, les autres confessions chrétiennes et les autres religions. Le dialogue avec les autres religions est à l’ordre du jour : avec l’islam et le judaïsme, en particulier. Au niveau musulman, on doit approfondir pour éviter les simplismes. Le dialogue passe aussi par les questions de société, plus ou moins conflictuelles : euthanasie, mariage homosexuel, écologie, économie, justice sociale, questions sur lesquelles il est nécessaire de s’informer et de se positionner.

Le pape François, dans son exhortation apostolique Evangelii gaudium (La joie de l’Évangile), précise par deux aspects cet engagement : l’intégration des pauvres dans la société et le dialogue pour la paix. Concrètement, c’est la toute première priorité que je voudrais lancer : comment dans nos paroisses et nos communautés, réservons-nous une place privilégiée à l’intégration des pauvres et au dialogue pour la paix ? Comment faisons-nous écho à ces situations, comment procurons-nous un soutien ? L’engagement concret est porteur de foi. Il éclaire la foi. On s’éclaire les uns les autres en matière de foi. Notre Église possède d’innombrables Services, le Vicariat Évangile & Vie le prouve, sans compter les institutions qui ne relèvent pas de lui. Comment s’épauler mutuellement entre unités pastorales et Services ? Entre Unités pastorales et institutions chrétiennes ? Quel est le rôle des hôpitaux, des mouvements, des syndicats, des mutualités ? Comment s’engager envers les personnes âgées et malades ? Et les détenus dans les prisons ? Comment accueillons-nous les étrangers ? Le rôle des laïcs est prépondérant en cette matière.

Notre diocèse a été pionnier en cette matière : cela a commencé en particulier avec le Congrès social de 1886, qui a ouvert la porte à la fondation des syndicats chrétiens et à la législation sociale belge ; il était l’œuvre de Mgr Victor Joseph Doutreloux et de l’abbé Antoine Pottier, théoricien de la justice sociale. En 1942, le premier prêtre ouvrier s’est engagé : c’est l’abbé Charles Bolland. En matière de dialogue, il faut souligner l’œuvre de Mgr Louis-Joseph Kerkhofs dans son sauvetage des juifs et, en particulier du rabbin Lepkifker, et son accueil du monastère de rite byzantin d’Amay, œuvre de Dom Lambert Beauduin, transféré ensuite à Chevetogne.

 2. Le secteur Dei verbum, ou l’annonce de l’Évangile

 

La constitution Dei verbum (La parole de Dieu) du Concile Vatican II est consacrée à l’annonce de la Parole de Dieu et à la communication de la foi. La dimension de communication de l’Évangile est importante en effet, à commencer par la lecture et l’étude de la Bible. Bible vient du grec biblia, qui signifie les livres. C’est donc un ensemble de livre, d’époques et de conceptions différentes. Déjà les évangiles sont au nombre de quatre et comportent des accents différents. Affronter le texte, avec ses difficultés et ses incohérences nous pousse à l’interprétation et à l’application personnelle. La Bible est un document imprimé et est destinée à tous même aux non chrétiens. Le concile insiste sur la lecture de la Bible par tous. Elle est Parole de Dieu, et elle met la parole à l’avant-plan : « au début était la parole » (Jean 1,1). La parole est en effet la base du développement humain, de la naissance de l’homme jusqu’à sa mort. Dans notre diocèse, la pastorale biblique se développe et j’en suis très heureux.

Le pape François a fait de l’annonce de l’Évangile une priorité. Il nous invite à être une Église « en sortie », qui ne reste pas dans son bien-être propre ou confinée dans ses intérêts spécifiques. Elle doit être en position d’annonce ; ma deuxième priorité est donc celle-ci : comment sommes-nous acteurs de la communication de l’Évangile ? Cela passe par l’engagement social. Mais cela continue par l’annonce explicite. Celle-ci démarre par la conversation autour d’une table, dans l’intimité. Elle se développe ensuite dans l’enseignement. Chez nous, le catéchuménat des adultes se développe. La catéchèse fait l’objet de toute une réflexion, basée sur une catéchèse intégrée, qui touche aussi les adultes. Nos formations religieuses s’intensifient grâce à leur reconnaissance officielle via l’UCL.

De même, l’enseignement est important. Il y a une attente de présence chrétienne et d’esprit chrétien dans nos écoles libres. La relation avec la paroisse est très utile à ce sujet. Le cours de religion est nécessaire, comme poumon de spiritualité et d’humanité, alors même qu’il est contesté aujourd’hui. Les évêques, les syndicats, et le SeGEC vont s’engager en faveur de ce cours.

Les médias ont un rôle-clé. On doit communiquer mieux, y compris par le site internet du diocèse, par RCF, par la présence sur les médias, par l’amélioration des services de communication.

 

Chacun des laïcs est interpellé sur sa manière d’être un témoin de l’Évangile. Notre Église diocésaine a été pionnière aussi en matière d’évangélisation. Je pense à son engagement en Chine par la SAM, fondée par l’abbé André Boland avec le P. Vincent Lebbe ; à l’engagement au Rwanda avec le chanoine Ernotte ; et à l’engagement en Amérique latine, qui est particulièrement à l’ordre du jour avec la visite de Mgr Eugène Rixen, évêque de Goias au Brésil, durant ce Carême.

 

 3. Le secteur Lumen gentium ou l’Église dans sa constitution interne

La constitution Lumen gentium (Lumière des peuples) du Concile Vatican II est consacrée à l’Église dans sa constitution interne, l’Église comme peuple de Dieu, réunissant pasteurs, diacres et laïcs, l’Église comme ensemble de communautés chrétiennes. Les communautés sont sacrement du salut. La collaboration entre les différents acteurs est essentielle. Un Conseil presbytéral, une Assemblée des doyens, etc. sont nécessaires. La formation d’Unités pastorales aussi, avec des équipes-relais et des Conseils d’unité pastorale. On met en commun ses potentialités. Mais, et c’est là ma troisième priorité : comment faire naître un esprit d’amitié, un témoignage d’amour mutuel, une véritable fraternité ?

Il est important de vivre la complémentarité hommes-femmes. C’est à partir de cette expérience concrète et du rôle des femmes dans les communautés que celui-ci se dessinera mieux dans l’Église universelle. Le pape fait appel à ce discernement. Il souligne le charisme de fécondité que possède la femme et celui de formatrice. Il valorise le rôle de Marie-Madeleine comme première évangélisatrice.

La figure du prêtre est essentielle : il est le signe sacramentel que la communauté a son origine en Dieu et non en elle-même. C’est une interpellation pour nous tous. Il faut  désirer le prêtre, dans un esprit de complémentarité des fonctions. Il faut aussi exercer un travail de parole pour accompagner les prêtres, les diacres et les acteurs pastoraux dans leur action sur le terrain, dans la diversité de leurs ministères et dans leur vie personnelle. Et pour donner le goût à des jeunes de s’engager dans le ministère presbytéral, y compris dans le célibat.

Nous sommes déjà un diocèse avec deux communautés linguistiques et culturelles. C’est l’originalité du diocèse de Liège, et cette situation nous stimule à l’ouverture. La diversité des communautés et des sensibilités doit nous encourager plus que nous énerver.

La diversité des communautés, c’est aussi la diversité des origines : africaines, polonaise, italienne, etc.… La vie religieuse et l’émergence de nouvelles communautés sont précieuses dans la vie du diocèse.

La pastorale des jeunes est indispensable. Elle doit valoriser en particulier la création d’événements et le relais des initiatives existantes. Les JMJ sont un moment essentiel pour les jeunes, de même que les initiatives connexes ou les mouvements de jeunesse.

 

 4. Le secteur  Sacrosanctum Concilium, ou la célébration et la prière

 

La constitution Sacrosanctum Concilium du Concile Vatican II est consacrée à la célébration liturgique. La dimension spirituelle est essentielle dans notre monde. Le rôle de la liturgie et de la prière est primordial. Il faut voir comment activer cette dimension, comment rendre la liturgie cordiale et digne à la fois. Un respect s’impose et une formation liturgique doit continuer à être offerte. Personnellement, comme musicien, j’aimerais promouvoir un répertoire de chants communs, qui puissent aussi servir à la catéchèse.

La célébration des sacrements nous interpelle par son évolution et les difficultés qu’elle suscite ; mais il est sûr qu’elle est l’occasion d’engagements nouveaux et utiles, comme pour la préparation des funérailles ou celles du baptême et du mariage.

On doit aussi chercher des moments de prière qui soient différents de l’eucharistie ; mon prédécesseur Mgr Aloys Jousten a largement promu les rencontres de prière autour de la Parole de Dieu ; je songe aussi aux prières du soir ; ou aux adorations ; ou à des manifestations plus populaires comme des processions ou des manifestations en rue. Il est important d’offrir des lieux de prière et de spiritualité. En ce sens, nous avons la chance d’avoir le sanctuaire de Banneux dans le diocèse et d’avoir un pèlerinage à Lourdes très actif. C’est une grande richesse !

La vie des communautés nouvelles est importante comme lieu de base pour la prière personnelle et communautaire. La prière est un moment de gratuité, qui n’est pas toujours compris dans nos sociétés actuelles. Elle est vécue de manière interpellante dans l’islam et dans le bouddhisme. Nos contemporains sont en recherche de spiritualité. Il est fondamental de répondre à cette attente : c’est ma quatrième priorité. Nous sommes invités à la vivre davantage en profondeur !

 

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Chers Frères et Sœurs,

 

En ce Carême 2014, je forme le vœu que le cheminement que nous entreprenons ensemble  soit guidé, à travers les lumières et les ombres du quotidien, vers la Semaine Sainte et la fête de la résurrection de Jésus. Que sur ce chemin chacune de nos vies soit préservée et relevée, pour que nous participions dans la joie à la résurrection du Christ

 

+ Jean-Pierre Delville
Évêque de Liège

 

Banneux, le 18 mars 2014

– See more at: http://liege.diocese.be/Default.asp?X=14A268F51D777861000B0513737460040B0716767260090B08127A7A7F0B03010713797A720A051360797D0B08126A667F720805166660740B07167C77090A0F08126974600B05F1#sthash.4gF84Pni.dpuf

Agenda de Septembre 2014

Dimanche 7 :

  • Fête et procession à Cheratte-Bas
    Messe à 9h30 (la messe de Wandre est supprimée)

Lundi 8 :

  • 19h30 : Fête de la Nativité de Notre Dame à la chapelle de Wixhou.
    Eucharistie  + procession aux flambeaux sous la présidence de monseigneur Jousten.
  • Attention, il n’y aura pas de messe ce lundi 8 septembre à 18h00 à la crypte.
  • Réunion d’information et d’inscription
    pour la catéchèse préparatoire à la profession de foi 2016 à 20 heures
    à la salle Maria Goretti (Sacré-Coeur rue Avenue Albert 1er Visé) 
Samedi 13 :
  • Journée diocésaine des Acolytes à Banneux (pour plus d’infos : cliquez ici)
  • Vous pouvez prendre contact avec Fabienne Bologne.
Lundi 15 : 
  • 20h00 Conseil d’Unité Pastorale à la Porte Ouverte
Mercredi 17 :
  • Fête de saint Lambert : messe à 18h00 à la cathédrale saint Paul à Liège
Vendredi 19 :
  • Récital d’orgue 19h30  à l’église Notre Dame du Mont Carmel à Devant-le-Pont.
Marina VEKILOVA, Moscou
Les 50 ans de l’Académie César Franck.
Samedi 20 :  
  • Rencontre et messe de rentrée pour la 1ère année kt de 17 à 19 h
    Rencontre à 17h00 au cercle paroissial en face de l’église (39 avenue Franklin Roosevelt) et messe à 18h00 à l’église de Devant-le-Pont (av. Franklin Roosevelt Visé) 
  • Messe de rentrée à l’église de Devant-le-Pont à 18 h, également pour la 2e année de KT (profession de foi en 2015)

Week-end du 20 et 21 :

  • Souverain-Wandre : fête des Sôtes
    Le 21 :  Messe à 9h30  suivie de la procession (la messe de Wandre est supprimée)

Dimanche 21 :

  • Procession de saint Hadelin à Visé
    Messe à 9h30 à la collégiale

Mardi 23 :

  • Prière de Taizé à 20h00 à la chapelle de Mons-Bombaye
  • REPRISE DU PARTAGE D’ÉVANGILE  selon saint Matthieu
    Le mardi 23 au presbytère de Cheratte-Hauteurs de 20 à 21h30
    Le jeudi 25 soit à l’église de Wandre de 20 à 21h30, soit à la Porte Ouverte, également de 20 à 21h30.
    Le lundi 29 à la sacristie de Sarolay de 14 à 15h30.

Mercredi 24 :

  • Reprise des rencontres de catéchisme préparatoire à la profession de foi
    2e année : Profession de foi 2015 à Visé de 13h30 à 15h00 et Wandre de 16h30 à 18h00.
    1ère année  : Profession de foi 2016 à Wandre de 13h30 à 15h00 et Visé de 17h00 à 18h30.

Vendredi 26 :

  • Récital d’orgue 20h00 à l’église Notre Dame du Mont Carmel à Devant-le-Pont.

Aurélien Fillion, Lille

  • Du vendredi 26 au dimanche 28 : Richelle est en fête

Dimanche 28 :

  • Fête à Richelle : messe pour la fête de saint Firmin à 11h00.
  • Eglise de Devant-le-Pont à 16 h 30

        CONCERT D’AUTOMNE
    par la Chorale de Saint-Remy
    et l’ensemble vocal AMALGAM de Haccourt
    PAF: 5 euros (pas de réservation)

PROFESSION DE FOI 2016

INVITATIONS
Lundi 8 septembre à 20 h
à la salle Maria Goretti (Sacré-Coeur rue Avenue Albert 1er Visé) :
réunion d’information et d’inscription
pour la catéchèse préparatoire à la profession de foi 2016.
Samedi 20 septembre  de 17 à 19 h
rencontre et messe de rentrée pour la 1ère année kt :
Rencontre à 17h00 au cercle paroissial en face de l’église (39 avenue Franklin Roosevelt) et messe à 18h00 à l’église de Devant-le-Pont (av. Franklin Roosevelt Visé) 

Lectures du jour des communions à Sarolay

Autour de l’évangile du jour selon saint Jean 14, 15-21

En première lecture :

Un après-midi avec Dieu

Il était une fois un petit garçon qui voulait rencontrer Dieu.  Comme il savait que ce serait un long voyage pour se rendre à Sa maison, il remplit sa valise de petits gâteaux et de six bouteilles de limonade, et il se mit en route.

Trois pâtés de maison plus loin, il vit une vieille dame.  Assise dans le parc, elle fixait quelques pigeons.  Le garçon s’assit près d’elle et ouvrit sa valise.  Il s’apprêtait à prendre une limonade lorsqu’il remarqua l’air affamé de la vieille dame.  Il lui offrit donc un gâteau.  Elle accepta avec reconnaissance et lui sourit.  Son sourire était si joli que le garçon voulut le voir encore.  Il lui offrit donc une limonade.  Elle lui sourit de nouveau.  Le garçon était ravi!  Ils restèrent ainsi tout l’après-midi à manger, sans dire un seul mot.

Lorsque le soir tomba, le garçon se rendit compte qu’il était très fatigué et se leva pour partir.  Cependant, au bout de quelques pas à peine, il se retourna, courut vers la vieille dame et la serra dans ses bras.  Elle lui fit alors son plus beau sourire.

Peu de temps après, lorsque le garçon franchit la porte de sa maison, son regard joyeux étonna sa mère.  Elle lui demanda: « Qu’as-tu fait aujourd’hui qui te rende si heureux?»  Il répondit: «J’ai déjeuné avec Dieu. »

Mais avant que sa mère puisse répondre, il ajouta: «Tu sais, elle a le plus merveilleux des sourires!»

Entretemps, la vieille dame, rayonnante de joie elle aussi, retourna chez elle.  Frappé de l’expression paisible qu’elle arborait, son fils lui demanda: « Maman, qu’as-tu fait aujourd’hui qui te rende si heureuse? »  Elle répondit: «Au parc, j’ai mangé des gâteaux avec Dieu.»  Mais avant que son fils puisse répondre, elle ajouta: «Tu sais, il est beaucoup plus jeune que je ne le croyais

Julie A. Manhan

Après la communion :

Un sourire ne coûte rien

Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent
Il ne dure qu’un instant
Mais son souvenir est parfois éternel
Personne n’est assez riche pour s’en passer
Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter
Il crée le bonheur au foyer
Il est le signe sensible de l’amitié
Un sourire donne du repos à l’être fatigué
Rend du courage aux plus découragés
Il ne peut n’y s’acheter, ni se prêter, ni se voler
Car c’est une chose qui n’a de valeur
Qu’à partir du moment où il se donne
Et si quelquefois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire
Soyez généreux, donnez-lui le vôtre
Car nul n’a autant besoin d’un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres.

Bottom of Form

 

Les échos de juin

St Pierre et Paul –  Mt 16, 13-19 
29 juin  2014

« Et toi, que dis-tu ? Pour toi, qui suis-je ? »

Jésus interroge ses disciples : « Que dit-on de moi ? » Ils répondent selon ce qu’ils ont entendu et perçu… Mais Jésus précise sa question : « Et, vous, qui dites-vous que je suis ? »… non pour recevoir quelque appréciation flatteuse, mais pour les amener à réfléchir et à se compromettre en exprimant devant tous ce qu’ils croient vraiment… Avec son tempérament de chef, Pierre prend la parole pour proclamer que Jésus est le Messie, le Fils du Dieu vivant.

Le Seigneur nous donne parfois l’occasion de proclamer notre foi. Faisons-le sans respect humain comme sans fanfaronner. Le son de notre foi éveillera un écho chez ceux qui vivent près de nous, et leur sera un secours. Notre vie est tissée d’événements que le Seigneur choisit pour nous et qui nous donnent l’occasion de montrer nos couleurs, même sans parler. Les actions que nous posons peuvent témoigner ou non que le Christ vit en nous et qu’Il est premier servi. L’amour que nous témoignons à nos frères de la terre leur fait soupçonner l’Amour et la Tendresse de Dieu, en même temps qu’il donne une raison de croire à l’Amour infini de Dieu pour nous. Si nous nous entraînons à témoigner ainsi par nos actions, il nous deviendra facile de dire notre foi lorsque les circonstances nous y amèneront… Et sachons bien que nos actes parlent si fort que nos paroles peuvent devenir vaines et inutiles.

En cette fête des St Pierre et Paul, les deux « colonnes » de la prédication apostolique, puissions-nous rester fidèles à leur enseignement et répondre personnellement à cette question que Jésus nous pose, à nous aussi, Que notre vie lui soit réponse !

Mad. Doigny-Conrardy

Saint Sacrement – Jn 6, 51-58
22 juin 2014  

Fête du Corps et du Sang du Christ 

Observez  un ostensoir, cet objet d’orfèvrerie que le prêtre porte de reposoir en reposoir à la procession ou qu’il expose sur l’autel lors de l’adoration, prière silencieuse et contemplative. « Parle, Seigneur, ton serviteur écoute ! »  Ce temps de prière fait sienne la parole du jeune Samuel.  Montre-nous, Seigneur, les signes de ta présence dans nos vies et dans notre monde.

Si notre esprit tourne à vide, ou plutôt, si notre esprit s’encombre de futilités, pourquoi ne pas prendre en image cet objet sensé supporter notre prière.  Dans nos paroisses, il en existe de style baroque.  Ils ont un pied large pour leur stabilité et un nœud pour leur saisie.  Au-dessus, une partie transparente, fermée par deux disques.  À l’arrière, une petite porte donne accès au rail sur lequel glisse la lunule, support d’une grande hostie qui en remplit le centre.  En façade, cette partie rayonne : elle est comme un soleil.  De part et d’autre, deux anges nous invitent à la prière.  Ils nous disent : « Regardez, ce qui est important est là ! »  Sur les rayons du soleil, est accrochée la base de ce sacrement : une gerbe et un pampre de vigne. Ils symbolisent le corps et le sang du Christ.  Pour montrer que le centre est précieux : l’orfèvre l’a garni d’un pourtour de brillants.  Au-dessus, surplombant l’édifice : une couronne.  Elle nous rappelle que Dieu est Père et Roi.  Elle tient l’oiseau, image de l’Esprit.  Cet objet nous invitant à prier le Christ nous signale son interaction avec le Père et l’Esprit.  L’ensemble de cet ostensoir est réalisé en vermeil, métal mêlant or et argent.  Alors, pour occuper notre esprit et le guider vers la prière, mettons-nous dans la peau de l’artiste qui l’a réalisé. Pour rendre l’objet priant, il a dû méditer et l’ensemble rend visible sa propre prière.  Pour lui donner de la valeur, il a dû utiliser un matériau noble, quelque chose qui brille et qui attire l’attention.  Pour notre contemplation, il a créé quelque chose de beau.

Alors, en ce jour où nous célébrons le Saint Sacrement du Corps et du Sang du Christ, fête liégeoise s’il en est, essayons de laisser le Christ nous interpeler ! Si nous n’avons pas d’ostensoir ou si l’église est fermée après l’office, pourquoi n’irions-nous pas sur le Net pour en chercher une image ou alors simplement dans la Bible, car, elle aussi, est une présence de Dieu.

MAYERES Jean-Luc

Sainte Trinité A – Jn 3, 16-18
15 juin 2014

Invitation

Aujourd’hui, nous fêtons la Sainte Trinité et l’évangile de ce jour nous propose seulement quelques lignes pour entrer dans ce mystère ! Pour nous y aider, j’ai repensé à l’image de l’icône de Roublev où trois personnages divins, identiques, lumineux font table ouverte aux spectateurs qui contemplent l’icône, soit moi, vous, nous.

Dieu, Père,  a tant aimé le monde qu’il est allé jusqu’au bout de l’amour en donnant son propre Fils pour nous sauver. La possibilité de participer à cet amour existe grâce à l’Esprit. L’invitation est lancée, la Trinité invite à la vie !

Vais-je répondre ? Ai-je envie d’être sauvé ? Mais sauvé de quoi ? Peut-être du non-sens de l’existence, de toute envie de mort, de tous ces moments sombres, fades, où le mal l’emporte sur le bien, où le défaitisme s’installe face à la situation de la société actuelle…

Et si je suis sauvé de tout cela, cette vie éternelle promise dans le texte, que va-t-elle changer? Si l’imagination pousse à croire que la douleur sera épargnée, que la tristesse n’existera plus, c’est une illusion, c’est être sur un petit nuage en dehors du réel. Etre croyant ne supprime pas la souffrance mais donne de la confiance. La foi m’aidera à dépasser l’ombre pour venir à la lumière et être attentif au secret que Dieu révèle à ceux qui veulent écouter et ainsi je ne serai pas abandonné parce que l’amour sera le plus fort.

Alors à table ! Sans jugement avec la singularité de tous les convives, leurs richesses misent en lumière. Chacun est attendu, oui, même elle! Même lui ! Même moi !

Encore faut-il le vouloir, on ne peut donner à boire à ceux qui n’ont pas soif, on peut juste susciter l’envie et si le « non » persiste, le jugement est sens appel puisque le lien au Père, Fils et Saint-Esprit est d’une liberté absolue ! L’amour de notre Dieu va jusque- là.

Bon Appétit !

Roger Kessler

                                                           Fraternité Laïque Dominicaine

Dimanche de Pentecôte A  – Jn 20, 19-23
8 juin 2014

Pentecôte : nouvelle création

          Dans le récit de Saint Jean, la venue de l’Esprit-Saint est faite d’intériorité, de discrétion et non de feu, de bruit…L’Esprit-Saint se manifeste comme une force intérieure capable de nous recréer au plus profond de nous-mêmes. C’est le même Esprit, le même Souffle de Vie que Dieu Créateur insuffle à Adam qui prend naissance .

Pentecôte, fête de la vie nouvelle. Aux apôtres qui ont trahis Jésus, que ce soit Judas en le livrant, que ce soit Pierre en le reniant trois fois, ou les autres qui ont pris la fuite, Jésus vient à eux pour recréer une relation de confiance. Il vient se manifester, là, dans leurs peurs, leurs enfermements, leurs doutes, leurs insécurités. Il leur apporte la paix, la force de l’Esprit-Saint ; force qui transforme l’intérieur, qui relève, qui unit, qui donne vie, qui pousse vers l’extérieur, vers Dieu, vers les autres…

Le printemps est une belle image de l’Esprit-Saint. En hiver, nous pouvons penser que la nature est morte, que plus rien ne repoussera, surtout si les gelées sont importantes. Mais aux premiers rayons de soleil du printemps, combien de fois, nous nous émerveillons de voir les bougeons apparaître, les perce-neiges et crocus pointer leur bout de nez au milieu de nos parterres.

La Pentecôte offre à chacun de nous l’occasion de renouveler notre relation avec Dieu, avec les autres. C’est le temps d’un nouveau commencement.

En nous donnant son Esprit-Saint, Jésus- Christ ouvre les portes verrouillées de nos cœurs par nos peurs, nos angoisses, nos paralysies et nous envoie, là où nous vivons, pour créer un monde meilleur, un monde plus humain et plus fraternel.

 

Martine Becco
Assistante paroissiale Continuer la lecture de Les échos de juin

Agenda de Juin 2014

Samedi 7 juin :

  • Lanaye : au centre du village de 6h00 à 17h00
    20e brocante de la Montagne Saint-Pierre

Dimanche 8 mai :

Bonne fête à tous les papas

Lundi 16 juin : 

  • 19h30 Conseil d’Unité Pastorale

Samedi 21 juin :

  • Sarolay : 17h30 – Messe d’action de grâce  suivie de l’apéro

Dimanche 22 juin :

  • Wandre : 9h30 – messe et procession suivies de l’apéro et d’un barbecue.
  • Ce week-end est celui de la fête Dieu. Vous êtes invités à suivre la Julienne de sa source aux étangs de la Julienne: Voici le descriptif fait par Jacques Galloy, initiateur du projet via facebook.

    La verdoyante vallée sillonne la Basse-Meuse sur 12 km et offre une des plus belles balades à l’entrée du pays de Herve. Des étangs de la Julienne à Argenteau aux sources de Retinne, ce régal pour les yeux et les amoureux de la nature devient encore plus accessible grâce à cette nouvelle randonnée. Venez vous oxygéner dans le poumon vert de la Basse-Meuse !

    Cette date est symbolique car il s’agit du dimanche de la Fête-Dieu, fête universelle pour les chrétiens qui a ses racines à … Retinne. Or cette année, c’est le 750ème anniversaire de la création de cette fête, initiée par Sainte-Julienne, née à Retinne. Peu importe vos croyances, réjouissons-nous ensemble de ce merveilleux patrimoine, de notre histoire commune, de nos trésors de biodiversité, tout en découvrant qui était cette fameuse Julienne.
     Programme du dimanche 22 juin –

    10h45 messe de la Fête-Dieu pour les familles à l’église Ste Julienne de Retinne

    2 départs depuis la source située Voie des Messes à Retinne :
    – 11h45 départ rando familiale contée (6 ou 12km, pic-nic sorti du sac)
    – 13h30 départ rando avec le parcours citoyen de Fléron (12km en 3h)

    16h00 Petite conférence sur Sainte Julienne par le spécialiste historien J-P Delville, évêque de Liège – à la Chapelle Notre-Dame de Wixhou (Argenteau)

    Dès 17h00, retour en bus vers le point de départ de Retinne suivi d’un (voir actualité)

Lundi 23 juin

  • Partage autour de l’évangile de saint Matthieu de14h00 à 15h30 à Sarolay

Mardi 24 juin

  • Partage autour de l’évangile de saint Matthieu de 20h00 à 21h30 à Cheratte-Hauteurs
  • 20h00 : Prière de Taizé à la chapelle de Mons-Bombaye

Jeudi 26 juin

  • Partage autour de l’évangile de saint Matthieu de 20h00 à 21h30 à Visé et Wandre

Dimanche 29 juin

  • Messe à (préciser) : Fête des Anciens Arquebusiers visétois.